Suite aux réunions d'information qui ont eu lieu à Saint Hilaire du Rosier et saint Marcellin, organisées par le collectif anti-linky, nous proposons à tous ceux qui le souhaitent d'entrer en contact avec le collectif pour recevoir des informations ou signaler vos démarches :
On peut contacter le collectif avec le mail suivant: stoplinky.sudgresivaudan@gmail.com.
Cette adresse est accessible par les personnes qui constituent le bureau. Ensuite, nous répondons en fonction d'un secteur octroyé à chaque membre du bureau. Nous nous consultons pour répondre aux demandes spécifiques pour lesquelles nous n'avons pas de réponse immédiate.
Toutes les personnes qui le souhaitent peuvent nous contacter, nous pouvons les aider si c'est leur souhait, à entreprendre les démarches visant à refuser le compteur linky .
Plus nous sommes nombreux, plus nous avons une chance d'être entendus.
Pour des informations détaillées au plan national on peut aller sur le site refus linky
ASTRE souhaite sensibiliser les citoyens aux enjeux climatiques, aux solutions souhaitables d'économie d'énergie et informer sur les possibilités de production d'énergies renouvelables locales.
Sur le long terme, les objectifs sont de faire prendre conscience aux citoyens qu'ils peuvent être acteurs de la transition énergétique sur leur territoire et peuvent initier ou prendre part aux projets qui se développent autour de ces thématiques.
Cela signifie, à l'échelle du territoire, être capable de produire une énergie propre locale, et être capable de maîtriser sa consommation d'énergie dans tous les domaines. Cela requiert aussi une démarche vertueuse sur les plans environnement et social.
Le Sud Grésivaudan et le Royans Vercors sont des territoires avec un fort potentiel de développement pour les énergies renouvelables. Ils s'inscrivent dans la démarche TEPOS (Territoire à Energie POSitive). Les citoyens dans le cadre des actions de ASTRE peuvent faire leur part pour répondre aux deux objectifs du TEPOS : réduire de moitié la consommation énergétique et couvrir les besoins restants par une production locale d'énergie s renouvelables. Le premier axe - réduire de moitié la consommation énergétique - demande des moyens conséquents et une implication transversale des acteurs du territoire.
Commencer par monter des projets de production d'énergie, permet de se donner des outils, une expérience et de constituer un réseau d'acteurs locaux.
Cela permet aussi de montrer notre capacité à nous fédérer pour mobiliser localement l'épargne citoyenne.
Le but de l'association ASTRE est d'initier, d'animer et d'accompagner des projets, à gouvernance et financement citoyens, autour de la transition.
Monter des projets viables dans les énergies renouvelables demande des moyens conséquents en ressources humaines et financières. C'est pourquoi ASTRE se propose d'accompagner les citoyens dans la création de société locale, de type coopérative, qui aura pour rôle de gérer la partie économique des projets (réalisation et suivi des installations, gestion des recettes). Cette société locale aura pour mandat principal de réinvestir la majeure partie de ses bénéfices dans les nouveaux projets.
ASTRE accompagne cette société locale en lui fournissant son expertise dans la réalisation de ses projets. Elle a pour ambition de développer ensuite le montage d'autres projets d'énergie renouvelables ou d'économie d'énergie.
Elle souhaite également pouvoir essaimer sur tout le territoire de par le caractère reproductible des réalisations et faire bénéficier de l'acquisition de ses expériences.
ASTRE souhaite associer citoyens, collectivités, associations et entreprises locales dans le montage de projets autour de l'énergie et créer des synergies entre tous les acteurs du territoire. Elle souhaite participer à la création de circuits courts pour générer de l'emploi local.
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Après le succès du film " Qu'est-ce qu'on attend"?(160 entrées) passé au cinéma Les Méliès en commun avec Astre
GSE vous encourage à participer au développement des centrales villageoises photovoltaïques sur notre territoire ; le collectif "énergie citoyenne de Saint Antoine a choisi de rejoidre le groupe "centrales villageoises Portes du vercors" qui a pour but de développer les energies renouvelables sur un territoire en associant citoyens, collectivités et entreprises locales. Chacun peut participer à la mesure de ses moyens.
Certains projets de méthanisation sont également en cours. Vous pouvez vous renseigner sur ces méthodes en visitant le site de la FRAPNA: FNE sur les procédés de méthanisation
MERCI A TOUTES ET TOUS
PLUS DE 15.000 PERSONNES, PLUS DE 350 ELU(E)S
Nous savions que nous pouvions compter sur vous. Le rassemblement de Barjac, organisé par 125 collectifs anti gaz de schiste, a été une réussite.
Votre détermination, exprimée dans un rassemblement festif et pacifique, confirme l’opposition citoyenne à la fracturation hydraulique et à toute exploration et exploitation des huiles et gaz de schiste ou de couche.
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> Le Réseau "Sortir du nucléaire" exprime son indignation devant le déni de démocratie survenu hier lors de l’adoption de la Loi Macron. Par la voix du député de l’Isère François Brottes, le gouvernement a accepté dans la loi un cavalier législatif facilitant l’implantation de CIGÉO, ce projet d’enfouissement en profondeur des déchets les plus radioactifs, puis adopté l’ensemble de la loi en court-circuitant le débat parlementaire par le recours au 49-3.
> Un déni de démocratie dans la droite ligne des actions du lobby nucléaire en France
> L’enfouissement des déchets, sujet grave qui impactera une région entière pour des milliers d’années, vient donc d’être validé en quelques heures, devant une audience restreinte et sans débat, aux termes d’interminables manoeuvres de la part de députés à la botte de l’Agence pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). De manière spécieuse, sachant que CIGÉO va coûter plusieurs dizaines de milliards d’euros, le député a justifié ce choix d’accélérer la procédure par le prétexte des difficultés financières d’Areva !
> Ce passage en force se situe dans la droite ligne du déni de démocratie dont ont fait preuve l’Andra et les autorités depuis des années : mépris des conclusions du débat public de 2005, qui refusaient l’enfouissement ; mépris de l’opposition légitime d’un grand nombre d’habitants de la région et des résultats sans appel d’un référendum citoyen il y a quelques années, mépris des générations futures qui devront supporter les conséquences désastreuses de l’implantation de CIGÉO… Il en va malheureusement de même pour l’ensemble de l’industrie nucléaire : EPR imposé sans débat préalable, promesse électorale bafouée sur la fermeture de Fessenheim...
> Alors même que la loi de 2006 sur les déchets radioactifs prévoyait une procédure législative spécifique pour définir les conditions de l’enfouissement et le concept de "réversibilité", le gouvernement et les parlementaires pro-CIGÉO ont réalisé là un inacceptable passage en force qui leur permettra de sauter cette étape. L’autorisation de construire CIGÉO sera donnée sans demander l’avis des parlementaires, contrairement à ce qui était prévu initialement.
> L'article 201 de la Loi Macron impose, sans discussion, sa propre définition de la réversibilité : il s'agirait d'une possibilité de revenir à tous moments sur les décisions antérieures. Cette définition est tellement vague que chacun pourra mettre ce qu'il veut derrière et qu'elle pourrait affranchir l’exécutif et la technocratie de tout regard législatif et citoyen pour modifier l’inventaire des déchets, la durée d’exploitation, la fermeture partielle et définitive des galeries tout au long de l’exploitation de CIGÉO...
> La Loi Macron entérine aussi la "phase pilote" plébiscitée par l’Andra, qui n’est autre qu’une manière de commencer l’enfouissement par petit bout pour mieux faire passer la pilule. Sur l’issue de cette phase, aucune date, aucun cahier des charges : l’Andra a les coudées franches et... le flou dont elle a besoin pour travailler toute seule dans son coin, sans regard démocratique extérieur.
> CIGÉO est un projet imposé dangereux, inutile et hors de prix, qui doit absolument être empêché.. S’il venait à être construit, la France pourrait devenir la poubelle nucléaire de l’Europe, en vertu de la directive européenne qui autorise le stockage de déchets d’autres États-membres.
> Le Réseau "Sortir du nucléaire" souhaite vivement que le Conseil Constitutionnel retoque cet article 201 et réaffirme sa détermination à empêcher l’implantation de CIGÉO et son soutien aux actions qui seront mises en oeuvre contre ce projet.